Encore en repérage ce vendredi, mais pour la bonne cause : l'automne approche (si, si. La preuve, c'est qu' il n'a jamais été aussi prés) et avec lui la prochaine Dériv'chaînes.
Or, parmi les particularités de cette année, le retour de la Dériv'chouettes figure en bonne place. Autrefois au départ de Pléaux et plutôt d'esprit bucolique, cette rando nocturne à VTT sera cette année citadine, puisqu'elle fera le tour d'Aurillac. Une des parties les plus sympas, mais aussi les plus décisives pour l'équipe de l'organisation : tester le circuit choisi.
Gilet fluo et éclairage, sept Dériv'chaînes dont deux féminines (encore un effort à fournir sur la parité !) étaient donc au départ de la place du square au crépuscule. Pour ceux qui douteraient de l'intérêt du gilet malgré la campagne avec Karl Lagerfeld ("c'est moche, ça ne va avec rien, mais ça peut vous sauver la vie"), voilà ce qu'on voit d'un cycliste, de nuit, en dehors des zones éclairées :
Alors après, l'esthétique, hein (surtout la nuit)...
Que dire du parcours sans éventer le secret ? Qu'il est accessible au plus grand nombre mais quand même un peu technique. Qu'on a gardé des escaliers, des rampes, mais aussi quelques chemins. Qu'une rando VTT en ville, c'est déjà sympa, mais que le vélo en nocturne c'est que du bonheur et que chaque difficulté passée "sans poser le pied" rend tout fier. Et surtout que la soupe au fromage sera bonne...
Et enfin (on a testé) que la crevaison fait encore et toujours partie du jeu.